Le Plan de Développement Urbain 2010-2015 adopté récemment par la majorité municipale prévoit parmi une kyrielle de mesures la fermeture de l’actuelle école Alfred de Vigny, et son transfert sous forme de nouvelle construction sur l’actuel site de l’école Lamblardie.
Cette décision a été annoncée ensuite de façon abrupte par M. le Maire aux membres du Conseil d’Ecole de cet établissement lors de sa séance du 26. 02. 2010. Les arguments développés pour justifier cette opération sont uniquement d’ordre mercantile, et se réfèrent exclusivement à la logique comptable. Plutôt que de procéder à la restauration et à l’entretien de l’existant, on préfère mettre en vente cet immeuble, et se débarrasser ainsi une nouvelle fois de biens communaux.
L’intérêt des enfants et des familles, le point de vue du corps enseignant n’ont absolument pas été pris en compte. Or toutes les études menées à ce jour se rejoignent pour stigmatiser et condamner le regroupement d’un trop grand nombre d’élèves sur un même site.
Une fois de plus -et cela tend à devenir une habitude- cette décision pernicieuse pour toutes les parties concernées a été prise de façon unilatérale sans débat préalable au sein des diverses instances compétentes en la matière. Cette manière autocratique de gérer les affaires communales tend à s’imposer comme règle de conduite de notre premier magistrat. C’est ce que l’on appelle le « fait du prince ». Cette attitude est l’antinomie de la notion de démocratie, dont pourtant M. le Maire et ses amis se réclament.
Cette décision a été annoncée ensuite de façon abrupte par M. le Maire aux membres du Conseil d’Ecole de cet établissement lors de sa séance du 26. 02. 2010. Les arguments développés pour justifier cette opération sont uniquement d’ordre mercantile, et se réfèrent exclusivement à la logique comptable. Plutôt que de procéder à la restauration et à l’entretien de l’existant, on préfère mettre en vente cet immeuble, et se débarrasser ainsi une nouvelle fois de biens communaux.
L’intérêt des enfants et des familles, le point de vue du corps enseignant n’ont absolument pas été pris en compte. Or toutes les études menées à ce jour se rejoignent pour stigmatiser et condamner le regroupement d’un trop grand nombre d’élèves sur un même site.
Une fois de plus -et cela tend à devenir une habitude- cette décision pernicieuse pour toutes les parties concernées a été prise de façon unilatérale sans débat préalable au sein des diverses instances compétentes en la matière. Cette manière autocratique de gérer les affaires communales tend à s’imposer comme règle de conduite de notre premier magistrat. C’est ce que l’on appelle le « fait du prince ». Cette attitude est l’antinomie de la notion de démocratie, dont pourtant M. le Maire et ses amis se réclament.
Pour les élus de la liste "Vivre Loches"
André SEHMER,
Conseiller Municipal
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